1 private link
rien à ajouter: la consommation énergétique du modèle O3 est juste cataclysmique.
désolé, on a essayé
et la lecture par B. Cumberpatch: https://www.youtube.com/watch?v=yJvczRkQHK0
il y a plein de moyens d'atteindre le confort thermique qui ne nécessitent pas de chauffer exagérément de grands espaces d'air
pour les 50 ans du rapport Meadows, l'INRIA fait un condensé des questions qui lui ont été posées dessus
l'océan absorbe l'immense majorité du réchauffement climatique. Chaque année, l’équivalent de 134 millions de bombes nucléaires. Résultat: il gonfle, les espèces migrent quand elles peuvent, mais souvent disparaissent.
l'économie de la croissance ne fonctionne pas, elle nous mène à une impasse, il faut atterrir. L'économie du donut: dans tous les domaines, le but est de rester dans la zone verte: au-dessus du minimum social, et au-dessous du plafond planétaire.
dossier sur l'envahissement des SUV
des vêtements très solides, simples, durables, écolos (ou raisonnés), locaux,... Acheter (et donc consommer) moins, mieux, plus longtemps.
rendre les bus gratuits ne suffit pas à long terme, il faut aussi réinvestir dans le développement de l'outil pour que les gens aient envie de les utiliser.
rien à dire de plus que le titre :-(
les chromebooks ont une date de péremption !!! Je sais même pas si je suis étonné...
L'effondrement est un terme négatif. Il est conçu pour interpeller plus que pour définir, et contient (volontairement) plusieurs notions assez floues. L'effondrement de la société «thermo-capitaliste», et l'effondrement écologique font partie de ces notions.
La fin du capitalisme est-elle réellement négative ? Certainement pas pour tous les exploités et/ou notre biosphère. Dont acte, on ne fait pas le deuil de ce qui ne nous manque pas.
L'effondrement écologique est lui nettement plus grave (euphémisme inside), et le dépassement de certaines de nos «frontières écologiques» (climat et biodiversité) l'a déclenché.
La prise de conscience est souvent difficile psychologiquement, pousse au défaitisme, voire à l'acceptation. Mais ce sont des mauvaises réactions: en réalité on peut se battre, le réchauffement est une réalité mais chaque dixième de degré compte. Des mesures «brutales» sont requises pour limiter les dégâts et les orienter, il faut accepter de couper l'arbre malade pour préserver la forêt, et orienter sa chute pour faire le moins de dégâts possible.
En 2017, Ripple et ses collègues ont publié dans Bioscience un avertissement destiné à alerter les décideurs, la société civile et l’humanité en général de la grave dégradation de l’état du monde. L’approche adoptée par les auteurs a consisté à rédiger un document court et synthétique et à inviter la communauté scientifique à le signer. Le raisonnement était que si plus de 15 364 scientifiques s'alarmaient d'un problème, celui-ci ferait sans aucun doute l'objet d'une attention particulière et des actions pertinentes pourraient alors être mises en œuvre. Ma crainte a immédiatement été que leur avertissement reste inaudible. Avec trois autres collègues français, nous avons donc décidé d'écrire une réponse dans laquelle, au lieu d'être d'accord avec l’avertissement des 15 364, nous déclarons que les gens ne sont aucunement disposés à adapter leur mode de vie pour sauver la planète et que cet avertissement doit donc être catégoriquement rejeté. Nous avons également invité les signataires à retirer leur soutien de manière symbolique en évitant de travailler sur les questions mentionnées dans l’avertissement, telles que la surpopulation ou la surconsommation. A posteriori, il n'est pas déraisonnable de conclure que notre réponse satirique semble avoir été une description assez précise de la réalité et qu'elle n'était en fait probablement pas assez, ou pas du tout, satirique.
Alors qu'elles seront directement lourdement impactées, les banques, même systémiques, ne gèrent absolument pas les risques majeurs liés à la destruction de notre environnement. L'auteur, haut placé, a élaboré un rapport clair, détaillé, qui est largement ignoré par sa hiérarchie.
population, croissance exponentielle