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la thèse: la bulle IA est créée par les monopoles de la tech qui ont conquis leurs marchés et ne peuvent plus grossir. Au désespoir, ils convainquent leurs investisseurs qu'ils peuvent « pivoter »: vers la vidéo, les cryptos, blockchains, NFT,... et l'IA.
Ça ne peut pas fonctionner, mais les vendeurs sont efficaces, et font des dégâts colossaux.
L'IA, c'est l'amiante que nous injectons dans les murs de nos sociétés et que nos descendants devront nettoyer pendant des générations entières.
La seule chose à faire est de crever la bulle aussi vite que possible, afin de stopper l'accumulation de dette sociale et financière.
C'est suivi par une analyse de la structure financière (proprement hallucinante) de l'industrie IA.
des chercheurs ont étudié les capacités d'oncologues utilisant (ou pas) des outils IA dans l'aide au diagnostic (analyse d'images d'endoscopies). Et le résultat est sans appel: ceux qui utilisent l'IA voient leurs capacités personnelles de diagnostic diminuer de façon mesurable en seulement quelques semaines...
en gros, mêmes les IA qui « raisonnent » ne le font pas vraiment, et s'effondrent très vite, même quand on leur fournit la solution au problème posé.
Par exemple, aucune ne résout actuellement de façon fiable le problème des tours de Hanoï, même si on leur fournit l'algorithme qu'il suffit de suivre.
comme ça ne fonctionnait pas, ils vendaient des prestations indiennes comme de l'IA...
Transcription de la conférence de Khrys aux JDLL de Lyon 24 mai 2025.
L'IA, ce n'est pas une technique, ni même un ensemble de techniques, c'est un projet. Un projet délétère de domination.
Oui c'est lié au capitalisme, au patriarcat,... mais c'est aussi en soi un problème.
Dans cette suite d'articles, l'auteur analyse des solutions fournies par une IA générative à des problèmes algorithmiques classiques ou plus élaborés.
Sans surprise: parvient à lui faire pondre des solutions correctes, mais seulement parce qu'il sait détecter les lacunes des solutions proposées initialement. D'autre part, les explications fournies par l'IA sont souvent correctes, mais souvent fantaisistes.
OpenAI a publié un guide pour amener les étudiants à utiliser ChatGPT. Voici un contre guide par Arthur Perret
Comprendre l'IA pour la démystifier.
Page synthétique et sourcée pour expliquer ce qu'est l'IA, ce que ça peut faire, ce que ça fait, ses limites, ses problèmes,... par framasoft.
Deux paysannes françaises en mission en Palestine. Nécessaire, beau, humain, mais ça pique.
la réponse TLDR est non.
Les PDS peuvent être décentralisés. Mais les relais c'est compliqué et gourmand, et l'application est sous contrôle de BSKY.
D'autre part, certaines parties des fonctions ne sont pas prises en charge par AT, donc passent directement par BSKY.
Et pour finir, rien n'est privé sur le réseau: ce qu'on marque privé ne l'est que si l'application le respecte, mais sur le réseau c'est public.
liste des projets tués par google, comme quoi utiliser les produits d'un très gros acteur ne protège pas nécessairement
diverses citations sur l'automatisation, l'IA,... et leur évolution au fil du temps, et des défauts
« We cannot be part of a discussion on what risks a certain technology has without asking whose risks »
we need to quit github
site qui montre de façon graphique et compréhensible la richesse absolument inimaginable amassée par quelques-uns. Notre cerveau n'est pas câblé pour comprendre les grands nombres, là on voit ce que ça représente.
La bd sur google chrome qui explique toutes les dérives du bousin
depuis peu, chrome se connecte au compte utilisateur dès qu'on se connecte à un service google. Ça a évidemment des implications massives:
- sync devient un dark pattern
- ça ne résout même pas le problème posé
- ça érode la confiance des utilisateurs (qui n'est pas une ressource renouvelable)
- leurs propres conditions d'utilisations n'étaient pas adaptées
l'hégémonie de google chrome pose tellement de problèmes, c'est une décision politique de ne pas l'utiliser
“Facebook and Google must not be allowed to dictate how we live online. These companies have chosen a specific surveillance-business model that impacts on privacy, freedom of expression and other human rights. The technology behind the internet is not incompatible with our rights, but the business model Facebook and Google have chosen is,”
la domination totale de microsoft, même sur des infrastructures hautement stratégiques, pose question
les multiples théories du complot et autres bobards ne reviennent pas en force parce que leurs arguments ont évolué, en fait ils ont remarquablement peu évolués (les antivax actuels utilisent les mêmes arguments que les antivax originaux).
Ce qui a changé c'est que quelques méga-compagnies contrôlent toutes nos communications et interactions sociales, et l'ensemble des processus de décisions. Le problème c'est big-tech, qui s'est infiltré partout, au point qu'on ne puisse plus faire confiance à aucun organisme censé nous protéger, puisque de près ou de loin ils sont contrôlés par ceux-là même qu'ils sont censés contrôler.