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la réponse TLDR est non.
Les PDS peuvent être décentralisés. Mais les relais c'est compliqué et gourmand, et l'application est sous contrôle de BSKY.
D'autre part, certaines parties des fonctions ne sont pas prises en charge par AT, donc passent directement par BSKY.
Et pour finir, rien n'est privé sur le réseau: ce qu'on marque privé ne l'est que si l'application le respecte, mais sur le réseau c'est public.
La bd sur google chrome qui explique toutes les dérives du bousin
Donc Win11 envoie des données dès l'installation non seulement à Microsoft, mais aussi à Steam, McAfee, et une série de sociétés publicitaires...
oh quelle surprise: ni google, ni whatsapp, n'ont prévenu les utilisateurs que les sauvegardes de whatsapp dans google drive étaient en clair. Donc non chiffrée. Et les conditions d'utilisation de google de l'époque leur permettait tout usage de ces données, y compris revente.
la Suisse aime les Tesla, il y en a beaucoup, de plus en plus.
Mais elles ont 8 caméras, et filment en permanence, même en veille, ce qui se passe autour d'elles (mode «sentinelle»), y compris les piétons.
De plus, une partie de ces données est envoyée aux États-Unis, sans qu'on sache exactement quoi. Si on désactive, plus de màj.
Problème Tesla pour le moment, mais les autres constructeurs sont également sur la voie de l'autonomisation des véhicules...
depuis peu, chrome se connecte au compte utilisateur dès qu'on se connecte à un service google. Ça a évidemment des implications massives:
- sync devient un dark pattern
- ça ne résout même pas le problème posé
- ça érode la confiance des utilisateurs (qui n'est pas une ressource renouvelable)
- leurs propres conditions d'utilisations n'étaient pas adaptées
l'hégémonie de google chrome pose tellement de problèmes, c'est une décision politique de ne pas l'utiliser
windows 10 est un siphon à données personnelles. Il y a 534 traqueurs identifiés. Passer la télémétrie en mode «basique» en laisse 503 actifs, seul W10 enterprise peut descendre à 13.
Ça envoie des données toutes les 30 minutes, l'équivalent d'un roman chaque jour pour une machine qui ne fait rien, à 7 localisations dans le monde (dont une proche de la NSA)
« La vaste architecture publicitaire de Google et Facebook est une arme puissante entre de mauvaises mains », car « elle peut être détournée à des fins politiques » et « laisse le champ libre à toutes sortes de nouvelles stratégies publicitaires aux relents d’exploitation, comme le fait de s’en prendre à des personnes vulnérables qui luttent contre la maladie, les troubles mentaux ou l’addiction. »
facebook trace et partage des données médicales privées, même si on n'a pas de compte facebook.
facebook trace et partage des données médicales privées...
après avoir été pris la main dans le sac, facebook a annoncé ne plus tracer la localisation de ses utilisateurs. Le pire, le plus désespérant, c'est que certains l'ont cru...
“Facebook and Google must not be allowed to dictate how we live online. These companies have chosen a specific surveillance-business model that impacts on privacy, freedom of expression and other human rights. The technology behind the internet is not incompatible with our rights, but the business model Facebook and Google have chosen is,”
la domination totale de microsoft, même sur des infrastructures hautement stratégiques, pose question
pas mieux que le titre.
depuis des années, les imprimantes impriment systématiquement un code peu visible sur toutes les pages, pour pouvoir tracer la provenance des documents imprimés. Des techniques existent pour contrer.
tout est dans le titre...
la petite sale histoire du capitalisme de surveillance
Depuis quelques années, les panneaux publicitaires sous forme d’écrans se multiplient dans le métro et ailleurs. A la gare Saint Lazare, une expérimentation a été lancée en vue de les utiliser à des fins de comptage des passants via des capteurs détectant les adresses MAC de leurs smartphones. Outre la question des dépenses énergétiques de ces dispositifs qualifiés d’inutiles par beaucoup, ces expérimentations interrogent le cadre légal qui entoure la notion de « données personnelles.
même les antivirus (dans ce cas Kaspersky) facilitent sans aucune raison l'espionnage de leurs clients. Et quand on pointe le problème, ils ne le résolvent que très partiellement.