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l'économie de la croissance ne fonctionne pas, elle nous mène à une impasse, il faut atterrir. L'économie du donut: dans tous les domaines, le but est de rester dans la zone verte: au-dessus du minimum social, et au-dessous du plafond planétaire.
rendre les bus gratuits ne suffit pas à long terme, il faut aussi réinvestir dans le développement de l'outil pour que les gens aient envie de les utiliser.
En gros, s'arranger pour être en face de MLP au second tour pour être certain d'être élu, c'est pas nécessairement une bonne idée. Ça lasse. Ça va finir pas casser
la domination totale de microsoft, même sur des infrastructures hautement stratégiques, pose question
0,001% de la population a capté 2,2% de la croissance sur presque 40 ans... bien joué les gars...
Depuis quelques années, les panneaux publicitaires sous forme d’écrans se multiplient dans le métro et ailleurs. A la gare Saint Lazare, une expérimentation a été lancée en vue de les utiliser à des fins de comptage des passants via des capteurs détectant les adresses MAC de leurs smartphones. Outre la question des dépenses énergétiques de ces dispositifs qualifiés d’inutiles par beaucoup, ces expérimentations interrogent le cadre légal qui entoure la notion de « données personnelles.
Le ministère de l’Intérieur français, le ministre néerlandais de l’Éducation, les agences du gouvernement suédois rejoignent l'exécutif allemand pour « abandonner les solutions de cloud computing américaines et déployer à la place [cette] solution de cloud privé de conception européenne ».
L'effondrement est un terme négatif. Il est conçu pour interpeller plus que pour définir, et contient (volontairement) plusieurs notions assez floues. L'effondrement de la société «thermo-capitaliste», et l'effondrement écologique font partie de ces notions.
La fin du capitalisme est-elle réellement négative ? Certainement pas pour tous les exploités et/ou notre biosphère. Dont acte, on ne fait pas le deuil de ce qui ne nous manque pas.
L'effondrement écologique est lui nettement plus grave (euphémisme inside), et le dépassement de certaines de nos «frontières écologiques» (climat et biodiversité) l'a déclenché.
La prise de conscience est souvent difficile psychologiquement, pousse au défaitisme, voire à l'acceptation. Mais ce sont des mauvaises réactions: en réalité on peut se battre, le réchauffement est une réalité mais chaque dixième de degré compte. Des mesures «brutales» sont requises pour limiter les dégâts et les orienter, il faut accepter de couper l'arbre malade pour préserver la forêt, et orienter sa chute pour faire le moins de dégâts possible.
quelle surprise, Microsoft collecte massivement et secrètement des données sur ses utilisateurs via Office... rapport du gouvernement Néerlandais.
En 2017, Ripple et ses collègues ont publié dans Bioscience un avertissement destiné à alerter les décideurs, la société civile et l’humanité en général de la grave dégradation de l’état du monde. L’approche adoptée par les auteurs a consisté à rédiger un document court et synthétique et à inviter la communauté scientifique à le signer. Le raisonnement était que si plus de 15 364 scientifiques s'alarmaient d'un problème, celui-ci ferait sans aucun doute l'objet d'une attention particulière et des actions pertinentes pourraient alors être mises en œuvre. Ma crainte a immédiatement été que leur avertissement reste inaudible. Avec trois autres collègues français, nous avons donc décidé d'écrire une réponse dans laquelle, au lieu d'être d'accord avec l’avertissement des 15 364, nous déclarons que les gens ne sont aucunement disposés à adapter leur mode de vie pour sauver la planète et que cet avertissement doit donc être catégoriquement rejeté. Nous avons également invité les signataires à retirer leur soutien de manière symbolique en évitant de travailler sur les questions mentionnées dans l’avertissement, telles que la surpopulation ou la surconsommation. A posteriori, il n'est pas déraisonnable de conclure que notre réponse satirique semble avoir été une description assez précise de la réalité et qu'elle n'était en fait probablement pas assez, ou pas du tout, satirique.
«We should treat personal electronic data with the same care and respect as weapons-grade plutonium - it is dangerous, long-lasting and once it has leaked there's no getting it back»
l'ancien CEO de Research In Motion (RIM, Blackberry) fait l'apologie d'une régulation forte des données.
«Social media's toxicity is not a bug - it's a feature. Technology works exactly as designed ... negative reactions produce far more engagement than positive reactions». Protect the whistleblowers.
Six recommandations:
- taxer les pub en ligne
- éliminer les pubs ciblées pendant des élections
- régulation strictes pour les partis politiques
- protection forte des lanceurs d'alertes
- responsabilité explicite personnelle des CEO
- institution transnationale pour gérer la coopération
interdiction du voile = moins d'intégration et d'autonomie pour les femmes/filles
on a besoin de pouvoir s'exprimer franchement, en privé, parfois de façon désagréable, sans que ça ne puisse être ressorti contre nous, parfois des années après.
Deux catégories de personnes n'ont pas de problème avec la surveillance généralisée actuelle:
- les anges, qui n'ont jamais une pensée désagréable, un mot de travers, ne disent jamais quoi que ce soit de négatif sur quiconque, n'ont pas besoin de parler en privé puisqu'ils n'ont que du positif à dire. Ils n'existent pas.
- ceux qui écartent d'emblée toute notion de cohérence, qui font de la grossièreté une qualité, et n'ont de compte à rendre qu'à eux-même. Les Trumps, Bolsonaro, Farage, Johnson,...
La surveillance généralisée actuelle génère les dirigeants pitoyables qui nous sont infligés.
citation extraordinaire de Bernie Sanders: «Tout ce qui nous effrayait du communisme – perdre nos maisons, nos épargnes et être forcé de travailler pour un salaire minable sans avoir de pouvoir politique – s’est réalisé grâce au capitalisme.»
en gros, en 20 ans le nombre de voyageurs a sérieusement augmenté, mais pas la dotation. Ni les engagements (en tout cas très largement pas en proportion). On impose donc une augmentation totalement surréaliste de productivité, qui n'est pas tenable, et ouvre la voie à la privatisation. Alors que partout ailleurs la privatisation ne fonctionne pas: augmentation des coûts (y compris pour l'état), recul du niveau de service, de la sécurité,...
différences fondamentales entre lobbys et associations: n'ont pas les mêmes buts, ni les mêmes moyens, et les associations agissent de façon transparente. L'action des lobbys devrait être publique et transparente (exemple du Canada).
Comment le capital a modelé le discours écolo